Chapitre 318 : Une nouvelle voie (1)
J’étais actuellement dans un poste de garde. Ou peut-être était-ce une cellule de prison ? Quoi qu’il en soit, le fait est que j’étais enfermé. Enfermé et en train de m’entraîner. Pompes, planches, tractions, etc…
[Votre force augmente de 0,1.]
[Votre vitalité augmente de 0,1.]
[Votre endurance augmente de 0,1.]
Comme l’indiquaient les alertes ci-dessus, l’entraînement se passait plutôt bien. J’ai connu une augmentation de 0,6 points en seulement 36 heures. Je n’aurais pas pu obtenir une augmentation aussi rapide sur Terre.
« … »
J’ai regardé les veines saillantes qui ressortaient de mon avant-bras. À ce rythme-là, je pensais pouvoir retrouver mes capacités d’origine d’ici deux à trois mois.
Tap, tap. J’ai soudainement entendu des pas lourds s’approcher. Clang. Puis j’ai entendu un bruit métallique strident.
BANG— !
Tout à coup, la porte s’est ouverte.
J’ai levé la tête et regardé la porte.
Une personne vêtue d’une robe se tenait devant ma cellule.
« Es-tu le tireur d’élite de rang-F Kim Hajin ? »
Une voix cristalline a atteint mes oreilles. C’était une jolie voix, une voix qu’il était impossible d’oublier une fois qu’on l’avait entendue.
« C’est bien moi. » ai-je répondu.
La femme portant une robe à capuche m’a fait un petit sourire.
« Est-il vrai que tu t’es introduit dans la bibliothèque pour lire des livres ? » m’a demandé la femme en me regardant.
Et c’est seulement à ce moment-là que j’ai vu son nom et son statut. Observation et Lecture s’était activé un peu tard.
[Airun – Commandante des Chevaliers]
« … Oui. »
« Alors ça veut dire que tu sais lire ? »
Airun a fait un grand sourire lorsque j’ai répondu que je savais lire.
Le taux d’alphabétisation était-il aussi bas que ça dans ce monde ?
« Super, c’est bon à savoir. »
Elle a sorti une plaque de cuivre et une carte de l’intérieur de sa robe.
« Je sais que seuls ceux qui sont compétents peuvent intégrer les Services Secrets de Lorenzio. Les statistiques prouvent que les soldats des Services Secrets ont généralement un ou deux rangs de plus que les soldats des autres escouades. » a dit Airun en jetant la plaque de cuivre et la carte dans ma cellule. « J’ai entendu dire que ça ne faisait que trois mois que tu avais rejoint l’armée. »
J’ai examiné la plaque de cuivre. De courtes phrases étaient écrites dessus.
[1h30 du matin, 8 mars, une écurie près de la porte Est de Lorenzio.]
[J’ai besoin d’un tireur d’élite pour me guider à travers les montagnes de Lotio.]
[Il doit être capable de lire cette plaque de cuivre.]
J’ai trouvé la dernière phrase un peu étrange mais j’ai décidé de passer à la carte. Sur celle-ci étaient écrits les mots [Carte d’Approvisionnement] en lettres noires.
« Peux-tu lire cette plaque de cuivre ? »
« … Pardon ? Ah, oui. Je peux. 1h30 du matin, 8 mars, … »
Lorsque j’ai lu ce qui était écrit sur la plaque de cuivre, Airun a souri et a poursuivi.
« Très bien. Alors, écoute-moi bien. J’aimerais t’engager pour une mission secrète. Tu es sûrement conscient qu’en tant que soldat de rang-F, ta carrière dans l’armée peut prendre fin à tout moment maintenant que tu es en prison. »
Je l’ai écoutée attentivement puisque j’ignorais tout de la situation dans laquelle je me trouvais actuellement.
« Cependant, si tu reviens vivant de cette mission, je te garantirai une place dans l’armée, pas en tant que simple soldat mais en tant qu’officier. … Oh, et tu seras immédiatement libéré si tu acceptes mon offre. »
Il semblerait qu’elle me demande de l’aide.
« Mm… »
Je me demandais si je devais accepter son offre ou non, quand tout à coup, plusieurs phrases ont surgi devant mes yeux.
[Nouvel Événement]
[Résumé : Airun vous a choisi pour être le garde du corps de Harin.]
[Difficulté : Élevée]
[Objectif : Escorter Harin en toute sécurité jusqu’à la République de Leores dans le sud.]
[Récompense : Une pièce d’équipement que vous avez perdue.]
« Je vais le faire. »
J’ai tout de suite acquiescé.
« Bien. Tu vas te changer et enfiler des vêtements civils avant de partir demain. Tu pourras obtenir tout l’équipement dont tu as besoin à l’armurerie avec cette carte. »
Airun a souri et s’est retournée. Ses mouvements étaient très gracieux.
Alors qu’elle marchait dans le couloir menant à la sortie, le garde s’est approché de moi et a ouvert la porte de la cellule en grand.
« Vous êtes libéré, tireur d’élite de rang-F Kim Hajin. Vous devrez remplir un court formulaire avant de partir. »
BAAAANG— !
La porte du poste de garde s’est refermée. Airun a poussé un soupir en regardant la porte en fer se fermer. Elle était trop lourde et volumineuse à son goût. Un simple traitement magique aurait suffi à résoudre ce problème, mais celui qui l’avait construite ne s’en était pas du tout soucié.
« … Donc c’est là que vous étiez. »
Soudainement, une voix agacée a attiré l’attention d’Airun. Surprise, Airun a tourné la tête en direction de la voix.
Elle a pu constater qu’il s’agissait de son subordonné, Draven.
« Draven. »
« Commandante, vous manigancez encore quelque chose ? »
« … Ce n’est pas une façon de parler à sa supérieure. »
Airun a pris un air grave, mais Draven était tenace. Encore plus sérieux qu’avant, il s’est mis devant Airun pour l’empêcher de passer.
N’ayant pas d’autre choix, Airun a soupiré et a dit :
« L’une de mes meilleures ennemies m’a demandé de lui prêter un tireur d’élite. »
« Une meilleure ennemie… ? »
« Oui. »
Airun a fait un sourire amer et a continué :
« Je suis sûre que tu la connais aussi. »
« … ?! »
Draven a écarquillé les yeux. Il n’y avait qu’une seule personne à laquelle il pouvait penser, la sœur de l’homme qui avait été exécuté pour avoir répandu de fausses rumeurs sur le prince.
Draven s’est exclamé avec effroi :
« Commandante ! »
« … Chut. »
« Ils pourraient penser que nous travaillons avec les traîtres. Ils— »
« Ne t’en fais pas. C’est pour ça que je suis venue ici. »
Harin, la fille aînée du clan Loren.
À cause de la prophétie perfide de son frère : “Un jour, le prince deviendra un diable et détruira le monde.”, toute sa famille avait été tuée, et elle était la seule survivante.
« Elle a besoin d’un tireur d’élite pour l’aider à s’échapper. Il n’est même pas de rang-D. Je peux lui donner un soldat de rang-F. Personne ne s’apercevra qu’il est parti de toute façon. »
Airun avait déjà testé le tireur d’élite de rang-F nommé Kim Hajin.
La plaque de cuivre qu’Airun a montrée à Kim Hajin, seuls ceux qui avaient une bonne vue pouvaient lire les lettres qui y étaient gravées. C’était un objet magique conçu spécifiquement dans ce but.
« Lui prêter un soldat ne changera pas sa situation, mais ça pourrait changer la nôtre— »
« Draven. »
Airun a interrompu Draven avec fermeté.
« C’est la décision que j’ai prise, et tu n’as pas le droit de m’en empêcher. Et je suis sûre que tu es également redevable envers le clan Loren. »
« …. »
Draven est resté silencieux. C’était comme la commandante l’avait dit : le Duc de Loren était un ardent partisan des chevaliers d’Arunheim. Il a apporté son aide à ceux qui avaient du talent, quel que soit leur statut, et leur a offert un soutien financier afin qu’ils puissent se concentrer sur le perfectionnement de leurs compétences au maniement de l’épée.
Airun était l’une des bénéficiaires de Loren. Bien qu’elle et Harin se soient éloignées à cause d’une chose qui s’était produite il y a longtemps, elle n’avait pas oublié tout le soutien qu’elle avait reçu de sa famille.
« … D’accord. »
Draven, qui était un aristocrate local ainsi qu’un ancien bénéficiaire de Loren, a finalement cédé.
« Toutefois, commandante, ce serait bien si ce soldat mourrait pendant la mission. Mais si par hasard il revenait vivant, je le tuerai moi-même. Nous devons garder ça pour nous. »
« …. »
Airun n’a rien dit. Elle est passée devant son subordonné silencieusement et Draven l’a suivie à pas lents.
[Nouvel Événement]
[Résumé : Airun vous a choisi pour être le garde du corps de Harin.]
[Difficulté : Élevée]
[Objectif : Escorter Harin en toute sécurité jusqu’à la République de Leores dans le sud.]
[Récompense : Une pièce d’équipement que vous avez perdue.]
J’ai examiné attentivement les détails de cette mission importante et j’ai changé de vêtements dès que je suis sorti du poste de garde. J’ai commencé à avoir des démangeaisons dès que je les ai enfilés.
Ma prochaine destination était l’armurerie. Les gardes de l’armurerie ont d’abord essayé de m’arrêter, mais ont renoncé lorsque je leur ai montré la carte, comme Airun m’avait dit de le faire. Ils m’ont alors donné tout l’équipement nécessaire.
« Cotte de mailles, sac à dos de chasse, crampons, arbalète en fer, 40 carreaux magiques en bronze. Vous êtes prêt ? »
« Oui, monsieur. »
J’ai choisi le meilleur équipement dans l’armurerie. Bien entendu, ils étaient tous banals, mais je pouvais probablement les rendre plus utiles grâce au Système de Consolidation Aléatoire.
« Bonne chance. »
« Merci. »
J’ai échangé des salutations avec les gardes et j’ai quitté l’armurerie.
Je me suis ensuite dirigé vers le stand de tir. Ma mission devait commencer demain et je ressentais le besoin d’améliorer mes compétences.
« C’est grand. »
Le stand de tir faisait 15 mètres de large et 500 mètres de long. Il avait l’air plutôt bien entretenu.
Je me suis placé dans un couloir et j’ai sorti l’arbalète.
Kiik—
J’ai armé l’arbalète en plaçant un carreau contre la corde et j’ai visé la cible.
Puis j’ai tiré.
Tang— !
Aussitôt après avoir tiré mon premier carreau, j’en ai tiré un second.
Tang— !
Mon deuxième carreau a farouchement poursuivi le premier.
C’était comme si j’avais tiré les deux en même temps. Cette technique de “tir rapide” a été rendue possible grâce à mon Don.
Baang— ! Baang— !
Un son bruyant a retenti. Le premier carreau a atterri au centre de la cible et le second carreau a coupé le premier en deux avant de traverser la cible.
« … »
J’ai hoché la tête en signe de satisfaction. Malgré le fait que mes statistiques aient diminué, le résultat était excellent. En combinant ma précision et mon Stigma, j’étais persuadé que je pourrais avoir le dessus sur quasiment tous mes ennemis en un seul coup.
« … Je me demande ce que font les autres. »
Une pensée soudaine a retenu mon attention.
Il y avait un total de 200 Terriens dans ce monde.
Avaient-ils tous commencé au bas de l’échelle comme moi ? Ou avaient-ils commencé plus haut ? Plus vers le milieu ? Ou peut-être que certains d’entre eux étaient devenus des aristocrates et étaient mieux placés pour voir comment les choses fonctionnaient ici.
J’ai sorti le Livre de la Vérité pour avoir une réponse.
« Où est Kim Suho dans ce monde ? »
J’ai supposé que cette question prendrait 2 stries, ce qui était risqué maintenant que mes capacités physiques étaient limitées. Mais je voulais savoir où était Kim Suho, coûte que coûte.
[… Kim Suho se trouve dans la République de Leores, au sud.]
« Oh ? »
J’ai écarquillé les yeux.
« C’est là que je vais. »
Un petit rire s’est échappé de ma bouche alors que je remerciais ma chance.
Arunheim, 8 mars du calendrier Kairos, tard dans la nuit au duché de Lorenzio.
« … Haa. »
Des cheveux bleus et courts, et des traits du visage bien définis. Pas même la saleté ou la grosse armure qu’elle portait ne pouvaient cacher sa beauté. Cette même beauté qui charmait autrefois le royaume tout entier.
N’importe qui remarquerait cette femme mystérieuse, mais sale. Ce fait a encore plus fait trembler Harin, la dernière survivante du clan Loren.
« … Haa. »
Dans une étable près du mur du château, elle errait seule, terrorisée. Elle a réussi à arriver jusqu’au duché de Lorenzio grâce à l’aide des chevaliers. Actuellement, elle était seule. Son seul compagnon l’avait quittée pour détourner l’attention de l’ennemi.
« — Attends ! »
C’est alors qu’elle a entendu un homme crier.
« Oh ! »
Harin s’est cachée derrière un mur et s’est couvert la bouche.
« — Allons dans un autre endroit ! La soirée ne fait que commencer. »
« — Excellente idée ! Allons-y ! »
« … Haa. »
Elle attendait dans la pénombre qu’arrive l’aide envoyée par Airun, tout en étant continuellement effrayée par les pas des passants et des animaux sauvages.
« Combien de temps vais-je encore devoir attendre… ? »
Harin se sentait humiliée d’avoir dû demander de l’aide à Airun, mais elle n’avait pas d’autre choix. Elle a décidé que rester en vie était plus important que sa dignité.
Elle lui avait demandé un tireur d’élite. Pour s’échapper d’Arunheim, elle devait traverser une chaîne de montagnes escarpée.
« Une minute, est-ce qu’elle… ? »
Mais elle ne pouvait pas écarter la possibilité qu’Airun l’ait trahie. Elle savait qu’Airun n’était pas du genre à revenir sur sa parole, mais…
Harin a joint ses mains et a prié pour qu’Airun se souvienne de toutes les bonnes choses que le clan Loren avait faites pour elle.
C’est alors que…
« Est-ce que c’est vous ? »
Une voix a attiré l’attention de Harin.
Surprise, Harin a fait un pas en arrière et a levé la tête. Dans l’ombre du mur du château elle a vu un homme caché sous une robe.
Harin a dégluti et a regardé l’homme.
« … Qui êtes-vous ? »
Elle s’est sentie soulagée, mais seulement pendant un bref instant. La tension dans l’atmosphère s’est intensifiée lorsqu’elle a commencé à soupçonner l’homme d’être un assassin envoyé par la famille royale pour la tuer.
« Je suis le destinataire de cette plaque de cuivre. »
L’homme a montré à Harin la plaque de cuivre qu’elle avait donnée à Airun. C’était la preuve que cet homme mystérieux était de son côté.
Mais Harin avait encore des doutes, car elle ne pouvait toujours pas écarter la possibilité qu’Airun l’ait trahie.
« C’est Airun qui vous envoie ? »
« C’est exact, je suis le pion. »
« … Le pion ? »
Harin était un peu déconcertée par son choix de mots, mais a néanmoins choisi de le croire. Elle savait en effet que si Airun l’avait trahie, il serait alors impossible pour elle d’arriver vivante à Leores, quoi qu’il arrive.
« … Enchantée de vous rencontrer. Je m’appelle Renha. »
Harin a donné un faux nom et a tendu la main.
« Je suis Kim Hajin. »
L’homme s’est également présenté et a pris sa main.
C’est ainsi qu’elle a serré la main de l’homme qui allait devenir son garde du corps.
« Kim Hajin… »
C’était un nom plutôt étrange, ce qui le rendait encore plus suspect.
« Oui, c’est moi. »
Mais l’homme a acquiescé comme s’il ne soupçonnait rien, et cela a mis Harin un peu plus à l’aise. Pour un assassin, il avait l’air un peu trop laxiste, après tout.
Harin a demandé avec désinvolture :
« J’ai un cheval. Savez-vous monter à cheval ? »
« Hm ? Ah, oui, oui, je sais. »
« Très bien. »
Harin a hoché la tête et a sorti le cheval de l’écurie. Il était assez grand pour deux personnes.
« Montons-le ensemble. … Ah, mais avant cela… »
Harin a s’est soudainement rendue compte qu’elle ne connaissait pas le rang de son garde du corps.
« Êtes-vous… »
Mais elle s’est arrêtée avant d’avoir fini de poser sa question.
Si cet homme était un chevalier, il serait impoli de lui demander son rang. Et si elle pouvait effectivement sortir vivante d’Arunheim, il valait mieux qu’ils ne sachent rien l’un de l’autre.
« … un tireur d’élite ? »
Elle a donc décidé de changer sa question. Elle voulait confirmer qu’Airun lui avait bien envoyé un tireur d’élite.
L’homme a acquiescé en souriant.
« Oui, je suis tireur d’élite. »
C’était suffisant pour Harin.
Mais apparemment, pas pour son garde du corps.
Il a ajouté une autre phrase qu’elle aurait préféré ne pas entendre.
« Je suis Kim Hajin, tireur d’élite de rang-F. »
« … Pardon ? »
L’esprit de Harin s’est figé.
Rang-F.
Cet homme parlait-il du rang-F qu’elle connaissait ? Le rang-F qui était synonyme de rebut ?
Abasourdie, Harin a regardé l’homme pendant un moment avant de demander :
« Avez-vous dit… rang-F ? »
« Oui. »
« … »
Ce n’est qu’à ce moment-là qu’Harin a finalement pu bien voir l’homme. La façon dont il était habillé ne ressemblait en rien à la tenue d’un chevalier, mais plutôt à celle d’un simple soldat.
Puis, de manière inattendue, l’homme lui a même montré sa carte d’identité.
« Vous pouvez me faire confiance. Voici ma carte d’identité avec mon nom et mon grade. »
[Soldat des Services Secrets, Tireur d’élite de rang-F, Kim Hajin]
« C’est tout simplement… »
“Vous faire confiance ? Comment pourrais-je vous faire confiance ?”
Harin a soudainement eu le vertige et a trébuché. C’était une anémie due au stress.
« Rang-F… »
Elle a attrapé sa tête à cause du vertige. Tout à coup, la rancœur l’a envahie.
“Airun, comment as-tu pu ? Je sais que j’en demandais beaucoup, mais un rang-F, sérieusement ? Il ne sera même pas capable de survivre dans les montagnes que je dois traverser…”
« Pourquoi… »
Troublée, Harin s’est effondrée sur le sol de l’écurie.
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Chapitre traduit par Sigyn sur https://kisswood.eu
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Merci pour ce chapitre